jeudi 18 septembre 2008

Passée de l'autre côté du miroir

C'est-à-dire chez Wordpress.

C'est trop chouette là-bas, je n'ai pu m'empêcher de tout transférer.

Le Blog Plaisirs se trouve donc à l'adresse http://plaisirs.wordpress.com/

Les calligraphies et les aquarelles ont été redéménagées, ce matin, à une autre adresse Wordpress (petit cafouillage) http://lescarnetsbleus.wordpress.com/

Vous pouvez entrer sans frapper ;-)

mercredi 17 septembre 2008

Échec de la laïcité

Entendu F2 chanter, hier, cette chanson d'Henri Dès :

"Restez-y messieurs, dames, sur le Ramadam dam dam"

mardi 16 septembre 2008

Dédoublement de personnalité

Ça y est, c'est fait.

Ça faisait un bout de temps que j'en avais envie.

Envie d'avoir un espace consacré uniquement à la calligraphie et à l'aquarelle, un carnet ou un journal de bord où je peux noter dans les moindres détails tout ce que je fais, tout ce que j'ai envie de noter sans avoir envie de me censurer en me disant que le lecteur n'a peut-être pas tellement envie de lire mes autocritiques et qu'il s'en fout de savoir quel pinceau j'ai utlisé etc.

Idéalement, j'aimerais bien pouvoior faire tout cela sur papier, dans un vrai beau cahier. Mais c'est trop demander à une fille désorganisée, même si elle aime la calligraphie. Un espace de stockage, une interface facile à utiliser, ça aide à s'y retrouver ;-)

J'avais aussi bien envie aussi d'aller voir pourquoi tout le monde dit que Wordpress, c'est tellement mieux. C'est fait, et je confirme : dès le premier regard au tableau de bord, on comprend immédiatement pourquoi c'est mieux!

Les carnets bleus

Le titre est un peu cliché, je manque cruellement d'imagination aujourd'hui. J'ai déjà importé les billets des catégories "calligraphie" et "mon cahier d'aquarelle".


Il y aura bien sûr des doublons, je vais continuer à publier aquarelles et calligraphies ici, sans rajouter de commentaires, sans réflexions sur ce que je fais.

Sortir de la clandestinité









En créant ce blog, je n'ai pas senti le besoin de mettre une photo dans mon profil. Mais je n'ai pas été une bonne clandestine. Assumant mal un véritable anonymat, j'ai semé suffisamment d'indices pour être quand même assez facilement reconnue. La preuve en a d'ailleurs été faite : Mlle V m'a tout de suite identifiée.

Il y a peut-être un bon moment que j'aurais pu me dévoiler d'avantage mais en fille qui court tout le temps, je n'avais pas le temps de publier des photos de moi et surtout pas le goût de prendre le temps de le faire. J'en ai d'ailleurs peu puisque je suis le photographe de la famille.

Mais puisque ce la fait presqu'un an que je fréquente les blogs de certains d'entre vous, ça commençait à être un peu embarassant de ne pas me montrer le visage. Je viens donc d'aller me constituer une petite banque d'avatars que pourrai utiliser durant les trente années à venir. Des clichés pris dans le miroir d'une salle de bain mal éclairée, ce qui est bien pratique quand on n'a pas de temps à perdre avec le maquillage (dixit la fille pressée qui ne gruge pas sur ses heures de sommeil pour en prendre à se maquiller, mais c'est là un choix de vie bien personnel, il est vrai).

Inutile de prétendre que vous avez droit à toute la série, mais tant qu'à se montrer la binette après un an, autant le faire en grand.

Me voilà donc.

lundi 15 septembre 2008

Les univers surpeuplés

de son imagination m'étonnent toujours.

F2 peut me parler pendant des heures, toujours en débit vitesse grand V mais avec moult intonnations fascinantes, tout ce qui s'y passe. Et ce n'est pas parce qu'elle s'y réfugie fautes d'amitiés bien réelles. Hier encore, elle avait joué toute la journée avec un enfant de son âge. Cela ne l'a pas empêché, sur le chemin du retour d'un trajet de 40 minutes, de me reconter par le menu détail tout ce qui s'était passé la dernière fois qu'elle était allée chez Jade et Rivière du Nord, tous les gens qu'elle y avait rencontrés, tout ce qu'ils avaient fait et cela n'était, croyez-moi, que prodige après prodige, merveille après merveille. Par moments, c'était trop, je décrochais; elle ne s'en apercevait pas, mais je n'écoutais plus.

-- ... mais sais-tu comment on a fait pour lui couper les mains?

Une de ces phrases qui me tire de ma rêverie et me ramène au récit

-- À qui avez-vous coupé les mains???

-- Ben voyons, je te l'expliquais! À la poupée en papier du bricolage qu'on faisait, Rivière du Nord et moi.

-- Ah oui!

Elle a continué son histoire jsuqu'à la maison.

Il y a des jours où j'ai envie de l'enregistrer pour ne pas que tout cela se perde, des jours où je regrette de ne jamais avoir acheté de caméscope et de n'avoir plus l'image mobile de mes enfants alors qu'ils étaient plus jeunes. Puis je me dis que la bande sonore ou le dvd ne nous restituent pas l'âme des souvenirs et des images gravées dans le coeur et la mémoire, si flous soient-ils.

La bibliothèque



Plus de réflexion avant de rendre le pinceau, moins de cafouillage lors de l'application.

L'idée s'est vite mise en place, tout de même. Dès que j'ai vu cette photo, je savais que je devais la prendre comme modèle et je savais que les cheveux devaient être rouge de cadmium pétant, que les contrastes devaient être violents.
Le résultat est bien tel que je le voulais et l'avais imaginé.

J'aimerais bien reprendre le motif avec une palette de couleurs rompues, la palette sienne brûlée et teal et gris-rouge, comme dans le payage "Dégel".