lundi 30 juin 2008

Gandhi en trois temps





J'ai toujours des problèmes de régularité des espacements. Mais ça revient avec la pratique. Bien sûr, mes brouillons sont toujours parfaits, c'est lorsque je prends une feuille en me disant que je fais un propre que le stress me fait faire de mauvais tracés. Je me dis souvent que je devrais cesser de perdre tant de temps en brouillons : ça devient stérile et paralysant. Ne produire que des "propres", puis faire le tri : jetter ce qui est raté et ne conserver que les oeuvres immortelles ;-)

4 commentaires:

Solange a dit…

Moi, je ne fais jamais de brouillon parce que je n'aime pas dessiner 2 fois la même chose. Si je rate je jette.

Encre a dit…

Ça ne me dérange pas de remettre cent fois sur le métier, mais le brouillon, c'est un peu comme le doudou : c'est pour moi une façon de faire repli, d'éviter le risque de passer à l'acte etc.

Still a dit…

C'est intéressant de voir ta démarche. Pour ma part j'aime beaucoup la troisième que je trouve très aboutie.

Encre a dit…

Moi aussi, Still, c'est la troisième que je préfère. C'est malheureusement la moins bonne côté calligraphie.

Comme je ne fais plus de brouillon, j'ai décider de faire plus en procédant par essais/erreurs. J'éliminerai ce que je n'aime pas et je conserverai le reste. Mais je ferai ne ferai pas le tri immédiatement. Je me donnerai quelques jours voire quelques semaines pour prendre du recul.