lundi 21 juillet 2008
Muss es sein
Et parce que cette chanson-là appelle toujours pour moi cette autre, moins connue, qu'on ne trouve malheureusement nulle part sur le web et qu'on n'entend pas souvent, je l'ai encodée et uploadée sur Dailymotion, avec la mauvaise conscience de bafouer les droits d'auteurs. Je la laisse une semaine, puis je l'effacerai d'ici et de Dailymotion. Désolée pour la vidéo moche, sans originalité, et pas du tout dans le rythme. Si j'avais pu m'en passer, de cette vidéo, je l'aurais fait croyez-moi! Mais je ne sais pas comment mettre de la musique en ligne autrement.La chanson étant très longue, j'ai fait du remplissage, rien de plus. De toutes façons, cette chanson-là, on ferme les yeux quand on l'écoute ;-)
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5 commentaires:
Encre, je suis bouleversé par tout cet ensemble.
J'entre dans mon univers,je pleure , je crie, je souffre mais je suis heureux.
Je me tais. Silence.
Merci à toi, merci.
C'est sublime.
Je me disais que c'était dommage qu'on l'entende si rarement,cette chanson. Heureuse que le vieux Léo vous ait procuré ces instants de bonheur.
ce matin, controverse autour de lui au petit déjeuner. L'Encrier trouve que Ferré donne complaisamment dans la facilité. Je ne dis rien. Tant pis si on ne peut pas être au diapason là-dessus. On ne peut pas l'être en toutes choses.
Je reviens.
Oui, j'ai été ému jusqu'aux larmes.
Léo, à la fin de sa vie, est devenu "fou". Il a dirigé cette symphonie de Beethoven comme un fou, et il a rendu fous tous les musiciens de l'orchestre au point de ne plus être en harmonie avec eux-mêmes.
J'ai vécu ce moment-là. Tout a ressurgi.
Cela veut dire quoi, "tomber dans la facilité "?
Alors, Serge, aussi , et bien d'autres.
Mais être anar , c'est être sujet à toutes les critiques...A moins de ne pas être pour un ordre établi, voire préétabli.
Peu importe. J'ai vibré avec un grand bonheur.
Je te le redis.
Merci
Herbert, comme vous n'êtes pas familier de ce blog, je dois peut-être préciser que l'Encrier est le pseudo de mon conjoint.
Quelle chance vous avez d'avoir vu Ferré diriger! Est-ce indiscret de vous demander si vous étiez musicien ou spectateur?
Ferré lui-même est d'une telle intensité qu'il semble toujours au bord des larmes ou sur le point d'exploser.
Ces deux chansons-là, de même que La mémoire et la mer, cela fait partie des textes qui m'ont marqué lorsque j'étais jeune, vous savez, ces textes qu'on porte en soi pour toujours, qui sont comme inscrits en nous.
Merci, Ebcre, pour ces précisions.
Encre et Encrier.... J'aurais dû y penser...
Je n'étais que spectateur. Emu et attristé.
Comme jean-Paul Sartre m'a ému et attristé, sur son tonneau...en fin de vie...philosophique, au milieu de parisiens ébahis.
Muss es sein. De toute façon, inoubliable...
a plus tard.
erci.
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